Paragraphe 780
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Vous essayez d'amener subtilement le sujet. Vous lui dites que le commissaire a formellement identifié, au sein de son personnel, des malfaiteurs au casier judiciaire garni. C'est sans doute pour cette raison que son entreprise est désormais sous surveillance. Vous faites mouche. Déstabilisé, Delmas ne parvient pas à cacher son embarras. Il se ressaisit vite et fait celui qui ne sait rien :
- Il faudra que je fasse une enquête interne alors, pour déterminer si nos chers policiers ont vu juste. Je vous embaucherai peut-être, ha ha. Mais finissez donc déjà votre enquête en cours.
- Vous travaillez dans le domaine de la défense, continuez-vous sur un ton implacable, pour le pousser dans ses retranchements. Vous devez vous assurer que votre personnel est irréprochable. Votre désinvolture est coupable.
Vous avez manifestement touché un point sensible. Les dames accompagnant le PDG ont senti que sa colère est sur le point d'éclater. Aussi, sous le prétexte d'aller chercher à boire, prennent-elles leurs distances. Le ton de Delmas change et se fait soudain menaçant :
- Écoutez, mon jeune ami, je n'aime pas vos insinuations. Je suis à la tête d'une très importante société. Je ne peux pas contrôler toutes les personnes recrutées par mon département des ressources humaines.
- Vous connaissez au moins votre chef de la sécurité ?
- Bien entendu. Mr Zork est quelqu'un de droit et capable.
- Zork ? Attention aux lapsus, Mr Delmas. Le nom d'emprunt de votre chef de la sécurité est désormais Sorche, vous semblez l'oublier.
Votre ironie l'a plongé dans la crainte et la colère. Il a compris que vous n'étiez pas dupe de ses explications. Ce PDG paraît loin d'être honnête. Il sait sans doute pertinemment qu'il a des crapules dans les rangs de ses employés. Vous avez un ascendant sur lui car il ne sait pas à quel point vous êtes renseigné sur son compte.
- Laissez-moi sur le champ, Mr Jacket, vous ordonne-t-il, sinon vous risquez de le regretter pour le restant de vos jours.
Si vous voulez pousser un peu plus votre hardiesse, vous pouvez bluffer, en affirmant ne rien ignorer de ses activités illégales et en lui demandant pourquoi il s'y livre ; rendez-vous pour cela au 581.
Si sa menace voilée a fait son effet et que vous avez peur de vous mettre dans une situation encore plus périlleuse que vous ne l'êtes, vous pouvez obéir à sa demande et le laisser retrouver ses courtisanes ; rendez-vous alors au 322.
- Il faudra que je fasse une enquête interne alors, pour déterminer si nos chers policiers ont vu juste. Je vous embaucherai peut-être, ha ha. Mais finissez donc déjà votre enquête en cours.
- Vous travaillez dans le domaine de la défense, continuez-vous sur un ton implacable, pour le pousser dans ses retranchements. Vous devez vous assurer que votre personnel est irréprochable. Votre désinvolture est coupable.
Vous avez manifestement touché un point sensible. Les dames accompagnant le PDG ont senti que sa colère est sur le point d'éclater. Aussi, sous le prétexte d'aller chercher à boire, prennent-elles leurs distances. Le ton de Delmas change et se fait soudain menaçant :
- Écoutez, mon jeune ami, je n'aime pas vos insinuations. Je suis à la tête d'une très importante société. Je ne peux pas contrôler toutes les personnes recrutées par mon département des ressources humaines.
- Vous connaissez au moins votre chef de la sécurité ?
- Bien entendu. Mr Zork est quelqu'un de droit et capable.
- Zork ? Attention aux lapsus, Mr Delmas. Le nom d'emprunt de votre chef de la sécurité est désormais Sorche, vous semblez l'oublier.
Votre ironie l'a plongé dans la crainte et la colère. Il a compris que vous n'étiez pas dupe de ses explications. Ce PDG paraît loin d'être honnête. Il sait sans doute pertinemment qu'il a des crapules dans les rangs de ses employés. Vous avez un ascendant sur lui car il ne sait pas à quel point vous êtes renseigné sur son compte.
- Laissez-moi sur le champ, Mr Jacket, vous ordonne-t-il, sinon vous risquez de le regretter pour le restant de vos jours.
Si vous voulez pousser un peu plus votre hardiesse, vous pouvez bluffer, en affirmant ne rien ignorer de ses activités illégales et en lui demandant pourquoi il s'y livre ; rendez-vous pour cela au 581.
Si sa menace voilée a fait son effet et que vous avez peur de vous mettre dans une situation encore plus périlleuse que vous ne l'êtes, vous pouvez obéir à sa demande et le laisser retrouver ses courtisanes ; rendez-vous alors au 322.