Paragraphe 836
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De votre poste d'observation en hauteur, vous avez une vue plongeante de l'enceinte de l'ambassade. Sur un côté du bâtiment, de larges vérandas donnent sur une cour où des tables garnies de cocktails ont été installées. Au-delà de la cour s'étend un jardin. Les vigiles ne brillent pas par leur présence. Des hommes en costards noirs, certainement armés, font le guet à chaque coin de l'édifice.
Pendant les premières heures de la soirée, votre planque s'avère bien ennuyeuse. Les invités semblent avoir été regroupés dans une salle dont les portes-fenêtres donnent sur les jardins. La fête bat son plein à l'intérieur ; des notes de musique parviennent jusqu'à vous. De temps à autres, des convives vont prendre la fraîcheur du soir dehors, mais aucun comportement suspect. C'est lorsque la nuit est bien avancée que se produit l'incident.
Des hommes en smoking se mettent à courir dans les jardins. Une explosion sourde retentit et de la fumée commence à s'élever à l'arrière du bâtiment. Une bagarre éclate. D'autres convives accourent et interviennent pour les séparer. Que se passe-t-il donc ? Bagarre d'ivrognes milliardaires ou événement majeur dans l'affaire Dattaque ? Vous avez peut-être votre réponse quand certaines voitures garées à l'extérieur se mettent à arborer des gyrophares bleus. La police était comme vous aux aguets aux abords de l'ambassade. Cardoze ne vous en avait rien dit.
Très vite la panique retombe et des policiers en smoking emmènent des hommes menottés avec eux. Vous allez aux nouvelles à pied. Vous vous annoncez comme le détective chargé de l'enquête sur le meurtre de Louis Dattaque et l'ami du commissaire Cardoze. Pourtant, on vous rembarre :
- Ce qu'il se passe ici ne concerne Cardoze en rien, et vous encore moins, peste l'un des policiers en civil. Circulez, monsieur !
Ce ne sont pas les hommes de Cardoze. Comme ils ont pris le contrôle des lieux, inutile que vous y demeuriez plus longtemps. Vous retournez à votre cabinet (+1 trajet de voiture dans votre Journal d'Enquête). Vous en saurez sans doute davantage demain sur les événements auxquels vous avez assisté.
Rendez-vous au 263.
Pendant les premières heures de la soirée, votre planque s'avère bien ennuyeuse. Les invités semblent avoir été regroupés dans une salle dont les portes-fenêtres donnent sur les jardins. La fête bat son plein à l'intérieur ; des notes de musique parviennent jusqu'à vous. De temps à autres, des convives vont prendre la fraîcheur du soir dehors, mais aucun comportement suspect. C'est lorsque la nuit est bien avancée que se produit l'incident.
Des hommes en smoking se mettent à courir dans les jardins. Une explosion sourde retentit et de la fumée commence à s'élever à l'arrière du bâtiment. Une bagarre éclate. D'autres convives accourent et interviennent pour les séparer. Que se passe-t-il donc ? Bagarre d'ivrognes milliardaires ou événement majeur dans l'affaire Dattaque ? Vous avez peut-être votre réponse quand certaines voitures garées à l'extérieur se mettent à arborer des gyrophares bleus. La police était comme vous aux aguets aux abords de l'ambassade. Cardoze ne vous en avait rien dit.
Très vite la panique retombe et des policiers en smoking emmènent des hommes menottés avec eux. Vous allez aux nouvelles à pied. Vous vous annoncez comme le détective chargé de l'enquête sur le meurtre de Louis Dattaque et l'ami du commissaire Cardoze. Pourtant, on vous rembarre :
- Ce qu'il se passe ici ne concerne Cardoze en rien, et vous encore moins, peste l'un des policiers en civil. Circulez, monsieur !
Ce ne sont pas les hommes de Cardoze. Comme ils ont pris le contrôle des lieux, inutile que vous y demeuriez plus longtemps. Vous retournez à votre cabinet (+1 trajet de voiture dans votre Journal d'Enquête). Vous en saurez sans doute davantage demain sur les événements auxquels vous avez assisté.
Rendez-vous au 263.