Vous lui saisissez fermement la main et lui ordonnez de vous suivre sans faire d'histoires. Elle veut vous faire lâcher prise alors vous lui tordez le poignet.
- Mais que faites-vous ? fulmine-t-elle avec une grimace de douleur.
- Vous venez d'avouer avoir commandité mon assassinat. Je vous arrête, pardi.
- Pauvre imbécile ! Vous croyez vraiment qu'un petit privé de rien du tout peut donner des ordres à quelqu'un de mon rang ? Ne faites pas l'idiot, il y a plein de monde ici.
- Suivez-moi sans faire de bruit, alors.
Vous la conduisez bon gré mal gré dehors dans les jardins, loin de la foule, quand tout à coup elle se met à hurler :
- Au secours ! Cet homme est saoul ! Il me fait mal ! À l'aide !
Dans la salle de bal, un certain nombre de voix se taisent. Vous n'avez pas le temps de réagir que les vigiles de l'ambassade ont accouru. Ils se saisissent de vous et vous maîtrisent en quelques secondes. Pris de court par les événements, vous parvenez à leur expliquer que vous travaillez avec la police et que vous devez arrêter cette femme. Vous voyez alors, dans le dos de vos assaillants, que Mlle Zadilova est en train de s'éclipser !
Si vous avez le mot-code AMBAWA, rendez-vous au
767.
Si vous ne l'avez pas, mais si vous avez une invitation portant des marques de cigare, rendez-vous au
601.
Dans les autres cas, rendez-vous au
16.