Très vite, un gardien vient chercher Beati afin de l'escorter jusqu'à l'infirmerie. Sans doute pour l'examen des scarifications qu'il s'est infligées. Vous en avez l'intime conviction, elles ne sont pas le symptôme de pulsions suicidaires, mais plutôt d'une sorte de manque affectif.
Resté seul dans la cellule, vous en profitez pour examiner la bouteille qu'il a remplie cette nuit : encore cette fétide odeur de salpêtre.
Les frères Estrada étant toujours invisibles, vous accueillez avec joie l'heure de la promenade. Rendez-vous au
535.