Le braqueur a quelque chose à cacher, on dirait. Il s'apprête à jeter le contenu de sa bouteille dans les toilettes. C'est l'occasion de gagner sa sympathie.

- Attends, avant de tout balancer ! Je sais comment faire une diversion, lui proposez-vous.

- Ah bon ?

- J'ai un smartphone. Les matons vont forcément tomber dessus, j'ai nulle part où le cacher.

Vous prenez la bouteille de ses mains et la reposez où il l'a prise, puis cachez votre téléphone derrière. Quand les gardiens débarquent, ils ne tardent pas à le trouver et à vous le confisquer (effacez-le de votre Journal d'Enquête, et notez-y le mot-code "SOUCAN"). Du coup, ils n'ont absolument pas prêté attention à la vieille bouteille.

- Même pas une semaine que t'es là, Exxel, et t'as déjà un cellulaire ? s'étonne Canaguerr, qui supervise l'opération à l'extérieur de la cellule. Je vais devoir te tenir à l'œil !

Sitôt qu'ils sont partis, Beati vous remercie.

- Tu sais, cette bouteille, c'est pas grand-chose, hé hé. Juste un produit illicite pour fabriquer de la dope. C'était histoire de me faire un peu de blé.



Si vous avez le mot MEITAL, effacez-le de votre Journal d'Enquête ; si vous l'avez souligné, effacez-en juste le soulignement.

Si vous avez le mot NIBENU et souhaitez parler à votre compagnon de cellule du contenu de sa bouteille, rendez-vous au 493.

Sinon, mieux vaut profiter de sa bonne disposition à votre égard en vous taisant ; rendez-vous alors au 871.