Rax vient se joindre à la petite assemblée que vous formez avec l'équipe de ménage. César soupire : il a déjà expliqué la situation à Piccolo. Ce dernier, en voyant s'approcher le psychopathe, se rappelle à quel point son arrivée dans ses plans le contrarie. Après votre adjonction à la troupe, c'est une inconnue encore plus aléatoire qui vient s'immiscer dans l'équation.
- Bonjour, mes nouveaux amis ! jubile Rax.
- La ramène pas, Tollère ! le coupe net Lavagno, qui reprend son rôle de chef. Puisqu'on peut pas faire autrement que de te prendre avec nous, tu vas te conformer à mes directives !
- Bien, chef !
Vous comprenez que le véritable statut de Piccolo ne doit pas être révélé à Rax. Les Estrada lui exposent les modalités du plan. Lui aussi recevra sa poche d'acide.
À la fin du briefing, il vient vous voir en particulier et vous glisse, sans son sourire mauvais habituel :
- Toi et moi, on est dans le même camp, maintenant, Gary. Celui des
cibles.
- Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Ils ne veulent pas de nous, tu ne le sens pas ? T'as peut-être pas mon instinct de survie, faut dire. Ils te reluquent de la même façon que moi : comme des intrus dont il faut se débarrasser. Tu ferais bien de faire gaffe à toi, mon p'tit Gary ! Tes amis pourraient bien t'empoisonner vite fait bien fait un de ces quatre. Ah, et au fait : c'est pas moi qui ai saigné Sanchez. À la revoyure !
Vous prenez ensuite en cours la conversation animée qui agite vos co-équipiers.
- Tu veux vraiment qu'on libère ce Tollère ? s'indigne Lavagno auprès de Piccolo. C'est un violeur et un désaxé !
- On trouvera bien le moyen de s'en délester
, le calme le vieux patriarche.
Les craintes de Rax pourraient bien être fondées. Il vous faudra rester sur vos gardes, plus que jamais.
Si vous avez misé sur un résultat sportif, rendez-vous sans attendre au
207.
Sinon, si vous avez le mot-code MIAVIN, rendez-vous au
744.
À défaut, si vous avez le mot AVDOJU, rendez-vous au
904.
Sinon, rendez-vous au
64.