- Hep, qu'est-ce que tu fous ? lui lancez-vous en chuchotant. Tu m'as réveillé !

Pris sur le fait, Beati devient blanc comme un linge, si l'on peut dire en pareille circonstance.

- Eh bien, mon p'tit Gary, t'as le sommeil léger ! Je faisais juste un peu de lessive, je voulais pas te déranger ! Tu t'habitueras vite à mes petites manies, hé hé.

Et il jette tout le contenu de sa bassine dans les toilettes. Il retourne se coucher, tandis que vous reprenez votre simulacre de sommeil. Soulignez votre mot AVDOJU.



Le lendemain matin, Beati est emmené sous bonne garde à l'infirmerie, pour le suivi de problèmes de dos qu'il vous dit avoir de façon chronique. Resté seul dans la cellule, vous vous morfondez, sans rien pouvoir faire pour progresser dans votre enquête. C'est le souci de mener des investigations en tant que prisonnier : vous aurez peu d'occasions d'avancer, et pendant ce temps perdu en oisiveté forcée, d'Armorim pourra fanfaronner, voire s'approcher de la liste de nos agents secrets, s'il ne se l'est pas déjà appropriée.

Beati ayant jeté dans les toilettes le contenu de sa lessive nocturne, il n'en reste aucune trace. Le bac dont il s'est servi est crasseux et ne présente aucun intérêt.

Duplessy vous a indiqué hier où était située la cellule des Estrada : face à la vôtre, de l'autre côté du puits de lumière. Pour l'heure, les frères ont étendu du linge sur leurs barreaux, de manière à cacher ce qu'ils font à l'intérieur. Il serait intéressant de savoir ce qu'ils ont à faire de si secret. Cela pourrait constituer un moyen de pression pour les amener à parler.



Finalement vient l'heure de la promenade. Tout le long du trajet en rangs ordonnés puis après dans la cour, vous cherchez du regard les frères Estrada. Un individu vous aborde alors.

Si vous avez déjà parlé avec Rax, rendez-vous au 593. Sinon au 244.