Piccolo vous a de nouveau gardé une place à sa table, avec l'équipe de ménage. D'humeur bavarde ce midi, il vous entretient de choses et d'autres. Assis de l'autre côté du vieux patriarche, César Estrada, lui, vous intime du regard de garder pour vous ce qu'a pu vous dire Beati ce matin. Vous pourrez lui parler après manger, comme vous a indiqué votre compagnon de cellule. Piccolo vous enjoint de ne pas provoquer Rax tout de suite.

- T'auras le temps de t'occuper de lui, fais-moi confiance. Mais pour l'instant, garde tes forces.

- Qui te dit que c'est Rax qui a fait le coup contre Sanchez ?

- C'est le coupable le plus probable, selon moi, en tous cas.

Mais il reste évasif quant à d'éventuelles preuves. Ce n'est qu'en fin de repas que vous remarquez Ézéquiel : il semble vous fixer comme s'il allait vous tuer. Des trois braqueurs, il reste le plus flippant. C'est lui qui s'annonce le plus difficile à manœuvrer.



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