Suite à l'épisode des douches, nul ne trouve louche que Lammech vous raccompagne de près, Sanchez et vous, à votre cellule. Là, il vous demande si cela va aller, si vous êtes prêt à continuer. Votre complice d'infiltration appuie sa question du regard. Il serait prêt à partir dès ce soir, vous le sentez. Mais votre rage contre d'Armorim a été décuplée par l'agression, répondez-vous. Le surveillant vous donne 5 à chacun (à noter sur votre Journal d'Enquête) et s'en va.
Maintenant que vous vous retrouvez véritablement seuls, vous remerciez encore Sanchez de vous avoir tiré d'affaires contre Rax.
- Ne nous réjouissons pas tout de suite, dit-il, l'air sombre. Dès qu'il pourra, le foutraque retentera quelque chose contre vous. Et contre moi aussi, j'imagine. Notre sécurité est sérieusement menacée, Jacket, vous en êtes conscient ? Vous voulez vraiment continuer cette mission ?
- Plus que jamais !
- Eh bien résolvez cette enquête au plus vite ! Ne risquez pas votre vie avec des problèmes qui n'ont rien à voir avec les Estrada. Comme ce Rax. D'ailleurs, le simple fait que je vous aie aidé, alors que nous avons simulé une dispute lundi, a dû éveiller les soupçons. Notre couverture est peut-être déjà éventée
- Nous dirons que c'est parce que nous sommes compagnons de cellule que nous avons développé une certaine solidarité.
Après une bonne nuit tranquille, au lever du jour, vous êtes bien reposé. Si vous en aviez une de noircie, blanchissez l'une de vos cases Santé.
Il est déjà jeudi. Vous passez la matinée à scruter par vos barreaux la cellule des Estrada, toujours en vain, cachée qu'elle est par du linge. Sanchez piaffe d'impatience à vos côtés, même s'il tâche de le cacher. Il faut dire qu'aujourd'hui, la chaleur estivale est particulièrement suffocante. Les économies budgétaires se font aussi sur la climatisation, on dirait. Ce n'est pas forcément idéal pour des esprits peu enclins à la patience.
En arrivant dans la cour pour la promenade, vous entendez que quelque fait se déroule dans un coin, au fond. Vous avez juste eu le temps de saisir un véhément "Sale voleur ! Alors c'était toi !", quand un cri déchirant éteint toutes les conversations.
Rendez-vous au
272.