Soudain, avant que votre allié et vous n'ayez eu le temps de réaliser, un groupe d'hommes a surgi dans la pièce et vous a encerclés ! Ils sont armés de couteaux fabriqués avec les moyens du bord. Vous les reconnaissez immédiatement : ce sont des
mignons de Rax. Le psychopathe possède un réel pouvoir de persuasion sur les esprits faibles, pour pouvoir les envoyer faire le sale boulot à sa place. Le piège, aussi rapidement exécuté, ne vous laisse aucune chance, même à deux.
Sanchez empoigne un banc en guise d'arme tandis que vous, dos à lui, enroulez votre drap de bain autour de votre bras pour vous faire un bouclier. Sanchez parvient à les maintenir à distance en faisant tournoyer le banc, mais les fanatiques ont été bien dressés : ils se lancent à l'assaut, quitte à tomber au champ d'honneur. Votre allié en a assommé un et vous avez essuyé la caresse d'une lame qui a déchiré votre serviette, quand Lammech déboule à la rescousse !
Jouant de sa matraque, il les met en déroute, bien aidé par Sanchez. Malheureusement, l'un des fourbes parvient à lui planter son surin dans le flanc avant de détaler ! Les autres surveillants accourent à leur tour et interceptent les malfrats sans ménagements. Lorsqu'ils découvrent leur collègue étendu sur le carrelage dans une flaque de sang, ils vous plaquent contre le mur et appellent les secours au plus vite.
Lammech est évacué vers l'hôpital le plus proche. Il est rapidement établi que c'était pour vous défendre d'une agression qu'il a été blessé ; Sanchez et vous êtes mis hors de cause par le directeur. Mais aucun des assaillants ne vend son maître. La bande de Rax est confinée en isolement jusqu'à nouvel ordre, mais la tête du serpent est toujours libre de mordre.
- On a perdu Lammech pour un motif étranger à votre enquête, Jacket. Pour rien, en fait, conclut un Sanchez plus sombre que jamais, comme vous êtes en route pour le réfectoire.
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265. Sinon, au
166.