Lammech vous raccompagne, Sanchez et vous, à votre cellule. Il vous donne 5 à chacun (à noter sur votre Journal d'Enquête) et s'en va.
Après une bonne nuit tranquille, au lever du jour, vous êtes bien reposé. Si vous en aviez une de noircie, blanchissez l'une de vos cases Santé.
Il est déjà jeudi. Vous passez la matinée à scruter par vos barreaux la cellule des Estrada, toujours en vain, cachée qu'elle est par du linge. Sanchez piaffe d'impatience à vos côtés, même s'il tâche de le cacher. Il faut dire qu'aujourd'hui, la chaleur estivale est particulièrement insupportable. Les économies budgétaires se font aussi sur la climatisation, on dirait. Ce n'est pas forcément idéal pour des esprits peu enclins à la patience.
En arrivant dans la cour pour la promenade, vous entendez que quelque fait se déroule dans un coin, au fond. Vous avez juste eu le temps de saisir un véhément "Sale voleur ! Alors c'était toi !", quand un cri déchirant éteint toutes les conversations.
Rendez-vous au
272.