Paragraphe 266
266
Vous avez beau le bourrer de coups de poing et de pied, le pousser ou vous démener, le gaillard est solide et tient bon ; vous ne parvenez pas à vous défaire de son garrot meurtrier. Il finit par vous tuer et, satisfait de sa vengeance, il part en laissant votre cadavre derrière lui.