De retour en cellule, Beati a retrouvé un peu d'allant.
- C'est parce que cet après-midi, il y a les parloirs ? lui lancez-vous.
- Bah, non. Personne vient jamais me voir. Sauf mon avocate.
- Elle est jolie ?
- Ouais, soupire-t-il. (avant de s'empresser d'ajouter :) Mais j'ai pas le droit d'y toucher ! Mon pote César me tuerait !
- C'est sa nana ?
- On peut dire ça.
L'information est intéressante : il existe une personne à l'extérieur de la Centrale en qui les Estrada ont confiance. Il faudra que vous disiez à Cardoze de la faire surveiller étroitement. Qui sait si le butin de leur hold-up n'est pas chez elle ?
À l'heure du repas, les différentes tables du réfectoire sont déjà pleines, pour changer, notamment celle où discutent les braqueurs et les Italiens.
Si le mot-code EQUIME figure sur votre Journal d'Enquête, rendez-vous au
361.
Sinon, il ne vous reste plus qu'à vous asseoir avec Sanchez et le Rat, au
129.