- D'accord, je vais voir ce que je peux faire.
Vous vous posez sur des marches d'escalier avec Mounir et Laraoui et parcourez rapidement les papiers. C'est un dossier administratif classique de la bureaucratie nationale, comme les détectives en voient tant, rien de très sorcier. Vous n'éprouvez aucune peine à remplir les différentes cases, en feignant de buter sur certaines pour parfaire votre couverture de détenu de bas étage. En expliquant les choses à Laraoui afin qu'il les traduise à son ami, vous voyez à son regard parfois perdu qu'il a beaucoup de mal à suivre. Bibliothécaire, mais plus ou moins analphabète, du moins en français ; il cache bien son jeu. Vous ne relevez pas, mais vous notez à son sourire : il a compris que vous avez compris. À la fin, le petit Mounir vous remercie avec force effusions verbales.
Lorsque vous êtes de nouveau seul, Sanchez vient voir ce que le duo vous voulait.
- Rien de bien méchant, pas d'inquiétude, le rassurez-vous.
C'est déjà la fin de la promenade, vous n'avez pas eu le temps d'observer les Estrada.
Inscrivez les mots-codes "FERAEZ" et "KAMAID" dans votre Journal d'Enquête. Si vous y avez le mot MIAVIN souligné, rendez-vous au
270.
Si vous détenez ce mot, mais non souligné, rendez-vous au
382.
À défaut, si vous avez le mot AVDOJU, rendez-vous au
286.
Si vous avez plutôt RATAVE, rendez-vous au
45.
Si vous ne possédez aucun de ces mots, rendez-vous au
327.