De retour en cellule, vous racontez à Sanchez l'incident avec Canaguerr. D'après ce que votre complice a appris, ce n'est pas le chef maton qui décide de la composition de l'équipe de ménage, mais Lavagno, le chef du clan des Italiens.
- La mafia est toute-puissante ici aussi, faut croire, soupire-t-il en guise de moralité.
- On peut craindre des pots-de-vin, donc.
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Laraoui passe alors avec son chariot de livres. Dans la conversation, il évoque les "provocations racistes", comme il qualifie la rixe de ce matin. D'après lui, celui qui les anime, c'est Ézéquiel Estrada. C'est curieux, que cherche à faire votre suspect ? Il se cache dans sa cellule, il attise les tensions
Quelle logique dans tout cela, si tant est qu'il y en ait une ?
Trois longues heures d'inactivité plus tard, c'est la promenade. Vous n'apercevez nulle part les frères Estrada ou Beati. Sans doute ont-ils leurs activités. Des Noirs disputent un match de basket-ball avec des Arabes. C'est un après-midi où les détenus ont la possibilité de passer un coup de téléphone personnel. Une mesure exceptionnelle, obtenue suite à une mutinerie il y a quelques années.
Pour vous mêler à la partie de basket, rendez-vous au
291.
Pour passer un coup de fil à vos amis enquêteurs de l'extérieur, rendez-vous au
219.
Si vous préférez rester tranquille en compagnie de Sanchez, sans rien tenter pour l'instant, rendez-vous au
127.