Hélas, vous n'avez aucune idée de ce que Piccolo et compagnie comptent faire de l'engrais. Vous tâchez de lui expliquer, mais il n'en est que plus remonté :

- Très bien, tu l'auras voulu ! Allez-y !

En désespoir de cause, vous criez à l'aide. Et, au moment où ses sbires allaient vous briser les phalanges, un Ézéquiel rouge de fureur surgit et met un ramponneau pas piqué des hannetons en plein dans le nez de l'un de vos tortionnaires ! Les Noirs, pris de cours, n'ont pas eu le temps de comprendre ce qui leur arrive qu'Ézéquiel en a envoyé un autre s'écraser contre le mur. Il est d'une force impressionnante. Personne n'a remarqué César qui, à l'aide d'un pied de chaise, assomme par-derrière l'homme qui vous enserrait le bras gauche. Libéré de l'étau, votre poing va fracasser la mâchoire de celui qui vous tient le bras droit. Comprenant qu'ils n'ont plus l'avantage, et de peur que n'arrivent d'autres renforts, voire les gardiens, Dienne et sa bande détalent sans demander leur reste.

Voilà un épisode qui ne va pas aider à apaiser les tensions… Ézéquiel vous aide à vous relever :

- On n'allait pas laisser ces négros embêter un équipier, bon sang de bois !

- Que te voulaient-ils ? s'enquiert César, soupçonneux.

- Que je leur dise ce que vous préparez avec votre détachant.

Il ne s'attendait pas à cette réponse, ou du moins, pas formulée ainsi. Il ne dit soudain plus rien.



Notez le mot-code "COPEZE" dans votre Journal d'Enquête. Les frères Estrada vous escortent jusqu'à la promenade.

Si vous avez le mot TRALRA, rendez-vous au 332.

À défaut, si vous avez le mot RATAVE, rendez-vous au 749.

Si vous ne possédez aucun de ces deux mots, rendez-vous au 487.