Vous retrouvez le Rat en train de jouer avec sa souris. Il s'enquiert immédiatement de votre santé. Il n'a jamais été au mitard, et ce que vous lui en dites le conforte dans sa volonté de l'éviter à tout prix. Sur ses conseils paternels, vous vous mettez au lit, sous vos draps d'un coup bien doux, dans le but de récupérer quelque peu après cette expérience atroce. Avec la chaleur qui règne aujourd'hui, vous ne pensez pas tomber malade, néanmoins.

Vous passez la matinée à scruter par vos barreaux la cellule des Estrada, toujours en vain, cachée qu'elle est par du linge. Votre compagnon de cellule sent qu'un malheur va arriver bientôt. Il y a trop de tension dans l'air, dit-il comme pour répondre à votre question muette.



À la promenade, vous êtes rejoints par Sanchez qui vient à son tour aux nouvelles. Mais vous n'avez pas le temps de lui relater quoi que ce soit. Quelque chose d'autre se déroule dans un coin de la cour. Vous avez juste eu le temps de saisir un véhément "Sale voleur ! Alors c'était toi !", quand un cri déchirant éteint toutes les conversations.



Rendez-vous au 272.