Le Rat joue avec sa souris, mais il est d'humeur morose.
- Après la promenade, il y aura les coups de fil, marmonne-t-il. Toi, tu vas pouvoir parler avec ta femme. Tandis que moi, personne ne vient me parler
Avant la taule, j'avais plein d'amis. Et maintenant, les seuls que j'ai sont ceux de la Centrale
La vie, c'est vraiment de la merde
!
- Tu vas pas nous la jouer comme Chino, hein ! le sermonnez-vous pour qu'il se reprenne.
- Non, c'est pas mon état d'esprit
Mais toi, tu sortiras sans doute avant moi. Tu viendras me voir, après ?
- Qui sait, pourquoi pas ?
Vous le laissez à son spleen. Non pas que sa détresse ne vous émeuve pas. Mais vous avez une tâche à ne pas négliger : épier la cellule des Estrada, qui a l'air vide. Encore deux heures de perdues.
À la promenade, vous êtes rejoints par Sanchez. Vos braqueurs, ainsi que les Italiens, demeurent invisibles, mais vous n'osez demander où ils ont pu passer devant Pétitin.
Si vous possédez des cigarettes et souhaitez les proposer à la vente, rendez-vous au
263.
Si vous disposez de menue monnaie et avez des envies d'achats, rendez-vous au
147.
Si, n'ayant rien de mieux à faire ici, vous préférez donner le coup de téléphone évoqué par votre compagnon de cellule, rendez-vous au
342.