Vous passez le reste de la soirée avec un Pétitin amer. Il vous en veut que vous n'ayez pas été à ses côtés cet après-midi. Que vous l'ayez laissé seul dans l'enfer des combats. Il a reçu des coups pendant qu'il s'efforçait, tant bien que mal, de barricader la cellule. Et il garde encore sur sa veste les taches du sang qui a abondamment coulé de son nez.
Vous lui expliquez que vous ne pouviez pas faire mieux, et il finit par se calmer. Sa réaction était moins une véritable rancur qu'un coup de colère après une grosse frayeur, venant d'un être chétif lâché au milieu des fauves.
Vous vous couchez et tâchez de dormir. Seulement d'un il ? (rendez-vous pour cela au
560)
Ou profondément ? (rendez-vous au
408)