Vous lui envoyez un méchant coup de coude dans le ventre qui lui fait desserrer son garrot. Dégagé de son étreinte, vous le repoussez violemment de l'épaule contre le mur, avant de contre-attaquer d'un direct du droit en pleine mâchoire. Le fou s'effondre, assommé pour le compte.
Vous frissonnez d'effroi :
il vous a appelé JacketComment a-t-il su votre véritable identité ? Une chose est sûre : il est réellement fou. Si vous en doutiez, la façon dont il vous a accusé d'avoir tué ses parents était significative d'un esprit perturbé. Il n'a donc pas pu découvrir tout seul qui vous êtes. Quelqu'un le lui a soufflé, et manifestement dans le but de l'envoyer vous liquider. Qui d'autre à la Centrale peut savoir
et vouloir votre mort ? Si vous ne l'avez pas encore, notez le mot-code "FOVOAI" dans votre Journal d'Enquête et, dans tous les cas, soulignez-le.
Il ne vous reste plus qu'à espérer que Choubrac tiendra sa langue quand il reprendra conscience. Vos jours de détenu sont comptés : il deviendra trop risqué de continuer cette comédie si votre véritable profession vient à se savoir.
Priant que personne ne vous trouve, vous vous cachez le temps que l'émeute s'essouffle. Quand un relatif calme semble être revenu, vous osez mettre le nez dehors.
Vous pourrez découvrir le spectacle au
504.