Vous réintégrez votre cellule en vous glissant par le soupirail. Beati accourt vous tirer à l'intérieur, et vous assaille immédiatement de questions inquiètes :
- Elle va bien ? T'as pu la sauver ?
- Elle est hors de danger, je me suis chargé de ses agresseurs. Mais on a un autre problème.
Il vous regarde avec des yeux étonnés. Vous lui faites signe de la tête qu'il y a quelqu'un derrière vous. C'est avec sidération qu'il voit Rax apparaître derrière vous.
- Qu'est-ce qu'il fait là, lui ? T'es pas frappadingue, des fois ?!
- Il a tout découvert. J'ai dû le laisser me suivre pour qu'il ne dise rien.
- Alors comme ça, c'est un plan des Ritals, cette évasion ? s'amuse le psychopathe.
Il s'est mis dos au mur de telle manière que l'on ne puisse l'attaquer avant qu'il n'ait hurlé.
- Casse-toi vite avant que la flicaille se pointe.
- On se revoit bientôt, les aminches. Pour que vous m'en disiez plus.
Et il part vers sa cellule à toutes enjambées.
Vous profitez du peu de temps qu'il vous reste pour remettre la grille d'aération en place et la colmater. Don Juan est catastrophé :
- César va te tuer ! Il voudra jamais que cette pourriture nous accompagne !
- À la guerre comme à la guerre. On trouvera bien un moyen de s'en débarrasser plus tard.
Vous ne comptiez pas permettre à quiconque de s'évader et disparaître dans la nature ; la peur de voir ce tueur en liberté ne vous effleure donc pas plus que cela.
Rendez-vous au
500.