Vous n'êtes pas le seul détenu sur les traces des surveillants en fuite. Certains, comme vous, pensaient ainsi éviter la curée. Mais les plus hargneux des pensionnaires de la Centrale, eux, ont voulu leur donner la chasse, soit pour continuer la mutinerie en dehors des quartiers réservés aux prisonniers, soit pour tout simplement passer leur rancœur sur les dépositaires de l'autorité qui les retient enfermés. Et, lorsque vous arrivez aux portes par lesquelles les fonctionnaires essaient de s'extirper de la mêlée, vous tombez en pleine distribution de coups de matraque. Pour les gardiens, il n'est pas question qu'un seul détenu ne franchisse l'accès au département administratif ; ils refoulent violemment et sans distinction tout candidat à la fuite. Vous n'échappez pas à la règle et ramassez votre coup sur la caboche (noircissez l'une de vos cases Santé).
Vous battez en retraite vers le au
420.