Au moment où le psychopathe lève le bras pour vous porter le coup fatal, Ézéquiel apparaît derrière lui, l'empoigne par les épaules, et le balance cinq mètres plus loin comme s'il s'était agi d'un sac de sable. Il ne lui laisse pas le temps de se relever en lui envoyant un grand coup de pied dans les côtes, qui lui fait lâcher sa lame de rasoir. Rax comprend vite sa position d'infériorité dans le combat et détale sans demander son reste.
Le cadet des Estrada vous aide à vous relever. Vous le remerciez.
- Faut s'entraider entre équipiers ! justifie-t-il son coup de main. Mais panse vite tes plaies avant d'avoir perdu tout ton sang !
Vous suivez son conseil de bon sens en déchirant votre droguet pour en faire des bandages de fortune. Comme Ézéquiel paraît vous apprécier, vous saisissez l'opportunité : vous feignez l'évanouissement. Blasphémant comme un charretier, le braqueur vous flanque quelques gifles dans l'espoir de vous réveiller. Comme vous demeurez "inconscient", il jure derechef et vous jette sur ses épaules afin de vous transporter jusque dans sa cellule, où il vous dépose à même le sol. De vos yeux mi-clos, vous y découvrez un spectacle étonnant !
En lieu et place de leur soupirail d'aération, il n'y a plus qu'un trou béant dans le mur ! César a réussi à faire sauter la grille. Ils veulent s'évader ! Voilà ce qu'ils cachaient à longueur de journée ! L'aîné, furieux et interloqué, s'en prend vertement à son frère :
- Qu'est-ce que c'est que ça ?! T'es pas un peu malade ?!
- Mais, César
Rax l'a presque tué. Il est KO. C'était pour le protéger.
- Qu'est-ce t'en as à foutre, de ce type, imbécile ?! Maintenant, va falloir que tu le surveilles, qu'il ne voie rien !
Allez-vous :
vous relever immédiatement ? (rendez-vous pour ce faire au
941)
continuer de jouer l'inconscient ? (rendez-vous au
919)