Le groupe d'intervention de la garde nationale finit par investir les lieux. Lourdement armés et protégés derrière leurs boucliers et leur kevlar, ses soldats d'élite n'ont aucun mal à mater les mutins. Ceux qui cherchent la bagarre finissent tasés vite fait. Les militaires conquièrent la moindre cellule, le plus petit recoin, et font mettre un à un tous les détenus couchés face contre terre, le temps de tous les menotter. Cette première phase terminée, les secours peuvent évacuer les blessés les plus graves et enlever les quelques morts.
(illustration dans le livre : possibilité d'indice à l'intérieur)
En fin de soirée, quand l'ordre est revenu à la Centrale, Canaguerr et ses hommes reprennent possession des lieux. Les blessures les plus légères sont soignées au cas par cas. Vous entendez le gardien chef se vanter que le retour au calme s'est opéré rapidement, que personne d'extérieur n'aura eu vent de l'émeute ; sans doute faudra-t-il écarter quelque journaliste trop curieux si besoin est.
Les prisonniers sont privés de douches. Les plateaux-repas sont servis directement dans les cellules.
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