Paragraphe 505
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Vous poussez Sicoud de votre chemin, direction la cuisine, et vous en claquez la porte ! Vous balancez une chaise en travers, dans l'espoir que cela les ralentisse un peu. Lorsqu'ils envahissent la pièce, vous avez à peine eu le temps d'enjamber la fenêtre. Vous vous mettez à courir dans le noir, le plus loin possible des lampadaires, mais vous êtes à découvert. Vous n'avez pas atteint la première palissade qu'un coup de fusil déchire le silence nocturne. Votre épaule est traversée par une horrible douleur. Vous trébuchez. Les malfrats vous rattrapent et vous achèvent d'une deuxième balle.
Les détonations ont dû alerter les voisins, mais lorsque la police arrivera, ils seront partis.