genoux aux pieds de Rax, vous le laissez approcher et, lorsqu'il est suffisamment près, tentez de lui attraper les chevilles, dans le but de le faire trébucher. Mais il vous a senti venir, la surprise ne marche pas : il évite votre croche-patte. Comme il va vous asséner un nouveau coup de lame, une main providentielle lui retient le poignet : César Estrada. Le braqueur tord le bras de Rax afin de lui faire lâcher son arme, puis l'envoie valdinguer d'un méchant coup de coude. Votre collègue du ménage est plus fort qu'il n'y paraît.

- Tu me le paieras ! fulmine Rax avant de décamper.



Vous remerciez César pour son aide. Vous aidant à vous relever, il vous demande si cela fait longtemps que Rax vous persécute. Vous sentiriez presque un début de compassion dans sa voix. Vous vous remémorez son dossier : il fut abusé dans l'une de ses familles d'accueil. Vous pouvez peut-être jouer là-dessus.

- D'habitude, j'ai pas trop de souci dans les bagarres, vous justifiez-vous. Mais là… Il me harcèle depuis mon arrivée, c'est sans doute lui qui a dégommé Sanchez… J'essaie d'être fort, mais je suis tout seul, tout seul…

- C'est bon, ressaisis-toi. Maintenant, t'es dans l'équipe. On va veiller à ce que Rax ne t'approche plus.

Derechef, vous lui exprimez votre vive gratitude. Inscrivez le mot-code "CEESCO" dans votre Journal d'Enquête.



Sitôt sortis des douches, vous gagnez le réfectoire de conserve. L'ambiance y est encore plus tendue après une journée de privations. Rendez-vous au 682.