Votre allié tente de vous relever, mais cette nouvelle dérouillée vous a fait perdre connaissance. Mlle Varga vous avait conseillé de vous reposer ; quelle n'est pas sa surprise en voyant qu'on vous amène encore auprès d'elle, salement amoché.

- Vous m'avez lancé ça comme une boutade tout à l'heure, mais je crois que je vais vous prendre au mot, Gary, vous annonce-t-elle quand vous sortez des vapes. Je vais faire une demande afin que vous soyez transféré dans un établissement hospitalier. Pour votre guérison, et pour votre protection. Ce n'est pas une cure de balnéo, mais vous y serez en sécurité. Je trouve que ça devient trop dangereux pour vous ici, à la Centrale.

- Mauvaise idée. Je pourrais en profiter pour m'évader. D'ailleurs, qui vous dit que je ne me suis pas fait passer à tabac exprès dans cette intention ?

- Toujours ce sens de la répartie ! Quel pince-sans-rire vous faites ! Je sais juger les gens, je pense, et notamment ceux qui veulent s'évader. Ce n'est pas votre genre. Je ne me fais pas de souci.

- J'apprécie l'attention, mais ce ne sera pas nécessaire.

- Vous êtes bizarre, vous savez ? D'habitude, les détenus sont contents à l'idée de sortir de ces murs.

- Oui, mais je risquerais de ne plus vous revoir.

Le sourire que vous lui arrachez lui rosit les joues. Elle consent à vous laisser "parmi les brutes épaisses", mais vous garde néanmoins en observation pendant une bonne partie de la journée, jusqu'après la promenade de l'après-midi.



Grâce à ce repos réparateur, vous pouvez blanchir l'une de vos cases Santé. En quittant l'infirmerie, vous avez, à l'instar des autres prisonniers, le droit de passer un coup de téléphone personnel, et vous ne vous en privez pas. Rendez-vous au 342.