Votre compagnon de cellule est agité ; il voulait vous parler sans attendre. Il a entendu dans la cour que l'on préparerait une agression contre vous. Il n'a pas su qui ; vous en avez peut-être une petite idée. Vous devrez demeurer sur vos gardes.
Le reste de la matinée passe lentement, lentement : Pétitin est concentré sur le numéro qu'il enseigne à Gérard, et les Estrada ont encore une fois plaqué du linge contre leurs barreaux.
À l'heure du repas, les différentes tables du réfectoire sont déjà pleines, pour changer, notamment celle où discutent les braqueurs et les Italiens.
Si le mot-code EQUIME figure sur votre Journal d'Enquête, rendez-vous au
361.
Sinon, il ne vous reste plus qu'à vous asseoir avec le Rat et Sanchez, au
129.