Votre inquiétude vous maintient à demi éveillé toute la nuit. Pendant ce temps, votre compagnon de cellule dort à poings fermés et ne bouge pas.
C'est encore somnolent que vous vous levez ce dimanche matin, après bientôt une semaine de cette expérience éprouvante. Les grilles des cellules s'ouvrent alors toutes en même temps. Lorsque vous mettez le nez dehors et découvrez tous les gardiens réunis dans l'allée centrale, vous avez la funeste impression que vous n'êtes pas près de sortir de prison.
Rendez-vous au
450.