Le repas terminé, Lammech vous raccompagne à votre cellule. Il vous glisse silencieusement deux billets de 5 dans la main (notez ces 10 dans votre Journal d'Enquête).
- Canaguerr ne se doutera de rien, sourit-il. Comme ça, vous ne serez pas ruiné par la fouille de ce matin.
- Vous avez des nouvelles de Duplessy ?
- On nous tient au courant. Pour l'instant, il est dans le coma, mais ses jours ne seraient pas en danger.
- J'espère qu'il va s'en sortir. Je n'ai plus que vous, comme allié ici.
- Je n'aurais pas dû être là aujourd'hui, car normalement je suis en repos. J'ai été réquisitionné, ou plus exactement, je me suis porté volontaire pour cette semaine non-stop. Après, je ne vous cache pas que je commence à fatiguer. Finissez vite ce que vous avez affaire et donnez-moi le signal de votre départ.
- Une dernière chose : je n'ai plus accès au téléphone, et il n'y a plus de parloir. Vous pourrez passer des mots au commissaire Cardoze de ma part ?
- Oui, mais pas ce soir.
Il vous laisse en vous souhaitant bonne chance.
Rendez-vous au
482.