Les gardiens, plus véhéments que jamais depuis votre arrivée, chassent la foule de détenus agglutinés. La promenade est terminée, tout le monde regagne sa cellule sous la menace d'armes automatiques. Le macchabée est pris en charge par l'équipe médicale du pénitencier, avec Mlle Varga à leur tête, mais vous savez que c'est trop tard. Le corps va être conduit à l'hôpital le plus proche, alors qu'il aurait fallu établir un périmètre et faire venir une équipe de la police scientifique. Il aurait alors été possible d'isoler un ADN et d'identifier le meurtrier. Bien sûr, restrictions budgétaires obligent, les autorités préfèrent dépenser l'argent du contribuable dans le but de confondre des criminels qui ne sont pas déjà sous les verrous. Le dénommé Sabino viendra juste enfler le volume statistique des décès en prison.
À vos côtés pendant votre retour en cellule, Sanchez vous confie sentir de plus en plus mal ce séjour à la Centrale. Hier un suicide, aujourd'hui un meurtre, la haute sécurité ça ne rigole pas. Il ne faudrait pas qu'il vous fasse faux bond.
Lequel de ces mots-codes avez-vous ?
MIAVIN souligné ? (rendez-vous alors au
664)
MIAVIN non souligné ? (rendez-vous au
540)
À défaut, AVDOJU ? (rendez-vous au
85)
RATAVE ? (rendez-vous au
690)
Aucun d'eux ? (rendez-vous au
761)