Vous regagnez votre cellule avec Beati, qui se montre particulièrement bien disposé à votre égard, maintenant que vous faites partie de l'équipe de ménage.

- Je suis content que tu sois des nôtres. C'est pas donné à tout le monde d'y entrer. Comment t'as fait ?

- J'ai cru comprendre que Piccolo appréciait mes qualités. Notamment le fait que je sois quelqu'un de confiance. Après, je ne sais pas si ma présence plaît à tout le monde dans l'équipe…

- Qu'est-ce que tu veux dire ?

- Ben, par exemple, tes potes les Estrada, ils ont pas l'air enchantés…

- Oh, ça ! Faut pas faire gaffe, ils sont tout le temps comme ça ! C'est des grognons en permanence ! Mais en réalité, ils sont plutôt cools, comme mecs. On se connaît depuis qu'on est gosses, donc je sais de quoi je parle !

- Ah oui ?

- Ouaip ! Nos parents habitaient dans la même rue. On jouait ensemble, c'est comme ça qu'on s'est connus. Après, Ézéquiel a eu des soucis avec la police, et César avec son père… On s'est perdus de vue, mais on s'est pas oubliés, et on a fini par se retrouver.

- Et du coup, vous, comment vous avez fait pour convaincre les Italiens de vous prendre dans l'équipe ?

Votre compagnon de cellule devient soudain beaucoup moins bavard. Il évoque une raison assez vague, un peu comme vous, mais en moins convaincant. Conscient de la forte avancée dans votre enquête aujourd'hui, vous n'insistez pas, ne voulant pas pousser trop loin votre avantage.



C'est l'extinction des feux.

Si vous vous laissez aller à un sommeil profond, rendez-vous au 897 si vous avez le mot-code COLMRA souligné, ou au 783 si ce n'est pas le cas.

Si vous préférez demeurer à moitié éveillé :

si votre mot AVDOJU est souligné, rendez-vous 359,

si vous avez le mot COLMRA souligné, rendez-vous au 185,

sinon, rendez-vous au 532.