votre entrée, Beati s'enquiert de votre état d'esprit.
- Sanchez, c'était ton pote, c'est ça ?
- On peut dire ça. Je me le suis fait là, en prison. C'est effrayant, de pas savoir qui a fait ça ! Le tueur fou pourrait s'en prendre à n'importe qui, maintenant. Qui ça pourrait bien être ?
- J'ai rien vu, j'étais pas là quand ça s'est passé. Mais c'est forcément un coup de Rax. Qui d'autre aurait pris un risque pareil ?
C'est alors l'extinction des feux. Tant que l'agresseur de Sanchez n'a pas été identifié, vous vous méfiez de tout le monde.
Si vous ne dormez que d'un il, rendez-vous au
615.
Si vous vous laissez aller au sommeil profond, rendez-vous au
146.