Comme vous déballez vos affaires, il a une autre question :

- Sanchez, le type qui s'est fait planter, c'était ton pote ?

- On peut dire ça. Je me le suis fait là, en cabane.

- Je lui ai un peu parlé, aux promenades. Il était sympa. C'est pas cool, tout ça…

- C'est effrayant, de pas savoir qui a fait ça ! Le fou pourrait s'en prendre à n'importe qui, maintenant. À toi ou à moi. T'as une idée de qui ça peut être ? Bruit de couloir ou autre ?

- Non, a priori, ç'a été fait en douce. Si quelqu'un avait vu quelque chose, j'aurais fini par le savoir. Je serais qu'à moitié surpris si c'était un coup de Rax. Ce genre d'attaque en traître, c'est bien son genre.



Vous lui laissez sa couchette du bas et vous vous allongez dans celle du haut pour la nuit. C'est alors l'extinction des feux. Pétitin n'a pas l'air très méchant, mais vous êtes tout de même dans le quartier de haute sécurité. Tant que l'agresseur de Sanchez n'a pas été identifié, vous vous méfiez de tout le monde.

Si vous ne dormez que d'un œil, rendez-vous au 615.

Si vous vous laissez aller au sommeil profond, rendez-vous au 146.