- Ce matin, votre camarade Sabino Fenocchi a été victime d'un meurtre, dans l'enceinte de l'établissement placé sous ma responsabilité. S'il y a bien un endroit où vous devez pas commettre vos saletés, c'est ici, chez moi ! Comme vous le savez, je suis globalement gentil avec vous, tant que vous me courez pas sur le haricot. Vous voulez vraiment perdre tout ce que je consens à vous laisser ? Eh bien, si c'est pas le cas, je veux avoir le nom du coupable, et vite ! Y a bien un de vous qui a vu quelque chose et qui se tait. Croyez pas que c'est parce que vous êtes en taule que je ne peux pas vous faire morfler davantage !
Les menaces de Canaguerr ne semblent pas calmer les Italiens qui renâclent. L'ambiance pendant le repas est particulièrement tendue. Vous devez manger avec Sanchez tant tous les clans veulent rester entre eux fourbir quelque sourde vengeance.
Hélas, Rax vient s'asseoir à côté de vous, l'air peu concerné par les troubles.
- Ouh la la, mon Gary, quel remue-ménage ! Qu'est-ce que c'est peu joyeux, d'un coup, la Centrale !
- T'y es peut-être pour quelque chose, non ?
- Moi ? Pas du tout ! Un Rital qui se fait buter, je dis pas que ce n'est pas réjouissant, c'est sûr, mais pourquoi me mettrais-je à dos le grand chef Lavagno ?
- Es-tu du genre à réfléchir avant d'agir ?
- Comme tu me connais bien, mon Gary ! Il faut que tu viennes me voir dans ma piaule, cet après-midi. Je me sens si seul, sans mon p'tit Chino
!
Rax ne sait rien sur les Estrada et d'Armorim et ne peut vous aider à les faire parler. Il n'est évidemment pas question de mettre votre vie en danger pour une source de renseignements aussi peu profitable.
Pour l'envoyer paître, rendez-vous au
632.
Si vous vous contenez, rendez-vous au
297.