- Votre camarade Anicet vient d'être conduit à l'hôpital dans un état grave. On l'a retrouvé tabassé à mort. Messieurs les débiles, si vous avez décidé de me faire une escalade des règlements de compte, je vais vite vous faire passer l'envie, est-ce que c'est clair ?! Comme vous le savez, je suis globalement gentil avec vous, tant que vous me courez pas sur le haricot. Vous voulez vraiment perdre tout ce que je consens à vous laisser ?
Un murmure de crainte parcourt l'assemblée. Vous auriez dû vous douter que les Italiens vengeraient la mort du leur. Même si Anicet n'était pas dans une prison de haute sécurité pour rien, s'il y passe, vous serez en partie fautif.
Mais peut-être n'êtes-vous pas un détective très à cheval sur la morale ? Ou bien avez-vous la vôtre ? Après tout, vous n'êtes pas un représentant officiel de l'État. Dans votre esprit, envoyer un criminel dangereux à l'hôpital est peut-être une nécessité acceptable, si l'objectif est de coincer un criminel de la trempe de d'Armorim et de sauver la vie d'agents de la nation ? Être un
dirty Jacket est peut-être votre manière de voir le métier de détective ? L'avenir dira si votre duel avec le comte méritait ce sacrifice.
C'est Josué Dienne qui brise le silence, réclamant justice à grands cris de colère.
- Il semblerait que Dienne d'vienne fou, ha ha ! lance un Italien hilare.
Tout son clan éclate de rire.
Si vous avez ri vous aussi, rendez-vous au
415.
Si vous n'avez pas compris ce qu'il y avait de drôle, rendez-vous au
458.
Si vous trouvez tout cela navrant, rendez-vous au
72.