Suite à l'épisode des douches, nul ne trouve louche que Lammech vous raccompagne de près à votre cellule. Il peut vous glisser une pièce de 2€ de manière inaperçue (à ajouter à votre Journal d'Enquête). À voix basse, il vous demande si cela va aller, si vous êtes prêt à continuer. Vous lui répondez oui d'un signe discret du menton. Votre rage contre d'Armorim a été décuplée par l'agression.

Il vous laisse en compagnie du Rat. Lui aussi s'enquiert de votre santé. D'après lui, personne avant vous n'avait réchappé à une attaque en traître de la bande de Rax. Du moins, pas en aussi bon état.

- Il t'a déjà fait du mal ? voulez-vous soudain savoir.

- Oh non, je ne l'ai jamais importuné. Et je ne suis pas son type.

- Personne n'a eu l'idée de se venger ?

- Tout le monde le redoute. Il a une influence sur tous les détenus les plus fragiles. S'attaquer à Rax, c'est craindre que n'importe qui vous attaque à n'importe quel moment, sans crier gare. Pourtant, c'est pas l'envie qui démange la plupart des locataires de la Centrale, crois-moi !

- Y compris toi ?

- Oui. Mais je ne suis pas assez courageux pour ça. Mlle Varga l'infirmière refuse de l'examiner, elle le laisserait peut-être mourir si on l'empoisonnait, je me dis…

- Tu sais ce qu'il lui a fait ?

- Oui, il l'a agressée. Parce qu'elle ressemble soi-disant à sa femme, qui a témoigné contre lui et l'a envoyé ici. La pauvre, épouser un sale type comme Rax… Elle a sans doute dû déménager à l'autre bout du pays, voire du continent. Car elle sait que s'il sortait de prison, il foncerait lui faire la peau.



La bataille des douches vous a marqué. Vous avez besoin de repos. Si vous vous abandonnez au sommeil, rendez-vous au 463.

Si vous vous méfiez toujours du Rat et préférez ne dormir que d'un œil, rendez-vous au 396.