Nils Jacket Contre l'Agent X, le site officiel des Enquêtes de Nils Jacket

Paragraphe 825

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Vous retrouvez votre cellule déserte et grande ouverte. Pourtant, il n'y a aucune trace d'un quelconque pillage, personne n'y a touché, alors même que des coups ont été échangés dans le secteur, au vu des gouttes de sang sur le sol de la coursive. Vous apercevez, non loin, un Italien en faction ; à la façon peu tranquille dont il vous regarde, vous avez l'impression que c'est lui qui a veillé à ce que nul ne vienne fouiller chez vous. Pour quelle raison ? Beati bénéficierait-il donc de la protection de la mafia ?



Vous vous calfeutrez à l'intérieur en flanquant les matelas de vos couchettes contre les barreaux. Don Juan finit par arriver à son tour, l'air visiblement bien secoué. Vous lui demandez ce qu'il y a, mais il ne veut pas répondre, trop ébranlé psychologiquement par les événements.



Il ne vous reste plus qu'à attendre que les choses rentrent dans l'ordre… au 500.