L'accident de Duplessy ? Un coup de d'Armorim, c'est son style. La pauvre Anita a payé pour le savoir. Cette fois, il n'y a plus de doutes : le comte a lancé la grande offensive ! Il sait que vous êtes à la Centrale et, de l'extérieur, il manipule ses pions contre vous. La partie que vous vous livrez est entrée dans la phase critique. Et force est de constater que votre ennemi, en joueur d'échecs revendiqué, a un coup d'avance sur vous : Lammech, Sanchez et Duplessy
vous avez perdu vos pièces maîtresses. Vous n'avez plus personne dans ces murs pour vous aider en cas de coup dur. Et vous connaissez Huttington et Cardoze, ils vont vouloir vous exfiltrer dès que possible. Votre vie avant tout. Tout est donc fini
À moins que
À moins qu'ils ne sachent rien de ce qu'il se passe ! Qu'ils ignorent l'accident de Duplessy, les agressions de Sanchez et Lammech. Auquel cas, vous êtes dans une situation bien pire qu'une partie d'échecs perdue. Sans plus aucun moyen de prévenir l'extérieur, vous êtes désormais réellement prisonnier ici ! D'Armorim ne va avoir aucun mal à vous faire supprimer.
Il ne vous reste plus guère qu'une chance si vous désirez survivre : démasquer Joska à tout prix. L'enquête sur les Estrada passe au second plan, même si vous en voulez tellement à d'Armorim pour Anita que vous n'avez pas le cur à laisser tomber non plus. Vous imaginiez cette enquête dangereuse, mais pas à ce point ! Tout le côté étouffant de la prison vient de vous saisir à la gorge. Vous n'êtes, d'un coup, plus sûr de jamais en sortir un jour.
Si, tout réfléchi, vous préférez informer Canaguerr que vous êtes un agent infiltré, attendez qu'il vienne dans votre cellule et dites-lui tout au
898.
Sinon, quel mot-code avez-vous parmi ceux-ci :
MIAVIN ? (rendez-vous au
877)
À défaut, AVDOJU ? (rendez-vous au
854)
RATAVE ? (rendez-vous au
476)