- Hep, qu'est-ce que tu fous ? lui lancez-vous en chuchotant. Tu m'as réveillé !

Pris sur le fait, Beati devient blanc comme un linge, si l'on peut dire en pareille circonstance.

- Eh bien, mon p'tit Gary, t'as le sommeil léger ! Je faisais juste un peu de lessive, je voulais pas te déranger ! Tu t'habitueras vite à mes petites manies, hé hé.

Et il jette tout le contenu de sa bassine dans les toilettes. Il retourne se coucher, tandis que vous reprenez votre simulacre de sommeil. Soulignez votre mot AVDOJU.



Au petit matin, il est encore emmené à l'infirmerie pour le suivi de son dos. Il a pris un abonnement ! Le bac dont il s'est servi cette nuit est crasseux et ne présente aucun intérêt maintenant qu'il a été vidé. Vous n'en saurez pas plus sur ce qu'il contenait.

Vous épiez ce qu'il se passe du côté de chez les Estrada. Aujourd'hui encore, ils ont étendu du linge devant leurs barreaux. Vous n'apprendrez rien de plus.

À la promenade, vous ne les voyez nulle part. Venu à votre hauteur, Sanchez dit ignorer où ils ont pu passer. Ils ne sont pas sortis, on dirait. Comme le Rat vient se joindre à vous, vous abandonnez cette conversation.



Quand vous regagnez les cellules, des éclats de voix vous parviennent.

Rendez-vous au 100.