Dans la nuit, une voix vous tire de votre rêverie. La voix doucereuse et menaçante de Rax. Elle répète inlassablement :

- Mon p'tit Gary, tu vas mourir…

Il est dans sa cellule, à vous harceler à distance. Et à exaspérer tout le monde. On le fait bientôt taire, heureusement. Par ailleurs, au moment de ce réveil forcé, vous avez eu le temps de voir Beati au fond de la cellule, près du lavabo. Il était en train de faire quelque chose avec sa veste, mais il s'est vite recouché dès que Rax s'est mis à dégoiser. Vous jureriez l'avoir entendu étouffer un juron. Il a manifestement été dérangé dans ses activités ; il a eu peur de se faire surprendre.



En tous cas, le harcèlement de Rax a porté ses fruits : vous êtes dans l'incapacité de dormir correctement jusqu'au matin. À défaut de lumière du jour, le frétillement des néons vous apprend que vendredi a déjà commencé.

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