- T'as raison, approuvez-vous, il faut que je fasse quelque chose !
Ni une ni deux, vous enlevez la grille d'aération et vous vous faufilez par le soupirail. Pétitin cache le trou derrière vous. De l'autre côté du mur, vous découvrez l'envers du décor : une sorte de débarras, parcouru de part en part de tuyaux de chauffage pour l'hiver. À son extrémité, une porte verrouillée. Vous ne devez pas la fracturer, sinon vous révéleriez l'évasion aux gardiens. Heureusement, vous trouvez de quoi en crocheter la serrure parmi les outils laissés par le personnel de maintenance. Aucune alarme n'est reliée à cette porte ; le plan d'évasion a été minutieusement étudié.
Derrière, vous vous retrouvez dans les couloirs dévolus au personnel. Désarmé, vous vous emparez d'un balai et d'un seau avec un fond d'eaux usagées : non seulement ils vous serviront à vous défendre, mais pourront aussi vous servir de prétexte pour vous trouver dans cette partie du bâtiment. Vous vous repérez vite et prenez la direction de l'infirmerie. Quand vous pensez en être proche, vous entendez un cri.
Un cri de femme.
Notez le mot-code "INFSAU" dans votre Journal d'Enquête et soulignez-le, puis rendez-vous vite au
600.