Lorsque Trouve-tout monte dans la voiture de ses amis, vous l'interpellez. Les malfrats sortent des revolvers, dans la ferme intention de vous abattre. Vous criez à Dienne de les en empêcher.
- Qu'est-ce tu veux, Exxel ? Dégage de là !
- Emmène-moi avec toi !
- Tu rêves, blanche-neige ! Pourquoi tu te tires pas avec tes potes les Estrada, ou les Ritals ?
- Ils comptaient me tuer.
- Et tu crois qu'on va pas te faire pareil ?
- Les Estrada étaient en taule pour un casse dont personne n'a retrouvé le butin. Je sais comment on peut s'en emparer sans risques, mais je connais pas leur planque. Ils vont certainement vouloir le récupérer avant de fuir le pays. Suivons-les, chopons le magot et on se le partage. Paraît qu'y en a pour trois millions !
Les Noirs se regardent, l'air de dire "Il croit qu'on va partager avec lui et même lui laisser la vie sauve, le naïf". Les halos des lampes-torches et les aboiements de chiens qui se rapprochent pressent Dienne de se décider :
- D'accord, Exxel, monte.
Assis à l'arrière à côté d'un colosse rasta moins engageant que Bob Marley, vous tâchez de ne pas perdre de vue vos braqueurs. Tous phares éteints, les hommes de Dienne se montrent très pros dans leur filature. De loin, vous repérez les Estrada en train de monter dans une camionnette. Vous la suivez de loin, via des routes désertes à cette heure avancée de la nuit. Mais bientôt, elle s'arrête dans une zone désaffectée, où les attend une berline noire. Lavagno, Piccolo et le chauffeur, qui vous est inconnu, descendent de la camionnette et montent dans la voiture.
- Qui est-ce qu'on suit ? vous demande Trouve-tout.
Répondez-vous :
la camionnette ? (rendez-vous au
947)
la berline ? (rendez-vous au
962)