Paragraphe 255
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Une invitée vous aborda en vous tapotant sur l'épaule. À votre surprise, c'était Odile Andylon la coupable de cette familiarité. Vous ne l'aviez pas encore remarquée dans l'assistance. Elle avait adopté une robe de soirée d'un vert profond qui seyait bien à ses cheveux foncés et la rendait moins guindée, voire coquette.
- Je me doutais que je vous trouverais là, se félicita-t-elle. C'est ce soir ou jamais pour attraper notre larron.
- Il va avoir du mal à percer le coffre.
- Elle va avoir du mal. Vous savez que c'est grâce à vous que je suis là ?
- L'espoir de ma compagnie ?
- Cessez vos enfantillages ! J'aurais passé ma soirée à surveiller les sœurs Notarangeli, et elles m'auraient semée aisément. Vous, en œuvrant sur place chez Tyron Pumar, vous avez presque réussi à l'appréhender, et avez au moins eu la confirmation que nous avions affaire à une voleuse. Je vais donc suivre votre méthode ce soir. Nous pouvons même faire équipe. Vous voyez, là-bas ? (elle désigna la madone renversante qui papillonnait de groupe en groupe) Samantha Notarangeli. Une fois encore présente sur les lieux des vols. Je ne la perds pas de vue, et vous, vous surveillez la salle des coffres au cas où Lydia sa sœur passe à l'action.
- Comment pouvez-vous être sûre qu'elle va débarouler ici, comme une fleur, pour voler un tableau ?
- J'ai compris leur schéma : une sœur sur place fait le guet, une sœur à l'extérieur coupe les alarmes et la troisième dérobe l'objet convoité. Et ne me dites pas que je me fais des films, que la pauvre gentille Lydia est à ses fourneaux ! J'ai surveillé la foule dehors toute la journée et devinez qui j'ai vu ? Lydia Notarangeli, toute vêtue de noir avec un large chapeau pour pas qu'on la reconnaisse ! Elle est là, tout près, parée à passer à l'offensive. Je vois que vous ne l'ouvrez plus pour me contredire. Très bien, continuez. À nos postes !
Et elle alla du côté de la roulette.
Si vous avez le mot-code DAMENO, rendez-vous au 602.
Si vous suivez le conseil et montez à la mezzanine pour mieux surveiller les accès à la salle des coffres, vous arriverez au 162.
Si vous préférez rester au milieu des convives, rendez-vous au 679.
- Je me doutais que je vous trouverais là, se félicita-t-elle. C'est ce soir ou jamais pour attraper notre larron.
- Il va avoir du mal à percer le coffre.
- Elle va avoir du mal. Vous savez que c'est grâce à vous que je suis là ?
- L'espoir de ma compagnie ?
- Cessez vos enfantillages ! J'aurais passé ma soirée à surveiller les sœurs Notarangeli, et elles m'auraient semée aisément. Vous, en œuvrant sur place chez Tyron Pumar, vous avez presque réussi à l'appréhender, et avez au moins eu la confirmation que nous avions affaire à une voleuse. Je vais donc suivre votre méthode ce soir. Nous pouvons même faire équipe. Vous voyez, là-bas ? (elle désigna la madone renversante qui papillonnait de groupe en groupe) Samantha Notarangeli. Une fois encore présente sur les lieux des vols. Je ne la perds pas de vue, et vous, vous surveillez la salle des coffres au cas où Lydia sa sœur passe à l'action.
- Comment pouvez-vous être sûre qu'elle va débarouler ici, comme une fleur, pour voler un tableau ?
- J'ai compris leur schéma : une sœur sur place fait le guet, une sœur à l'extérieur coupe les alarmes et la troisième dérobe l'objet convoité. Et ne me dites pas que je me fais des films, que la pauvre gentille Lydia est à ses fourneaux ! J'ai surveillé la foule dehors toute la journée et devinez qui j'ai vu ? Lydia Notarangeli, toute vêtue de noir avec un large chapeau pour pas qu'on la reconnaisse ! Elle est là, tout près, parée à passer à l'offensive. Je vois que vous ne l'ouvrez plus pour me contredire. Très bien, continuez. À nos postes !
Et elle alla du côté de la roulette.
Si vous avez le mot-code DAMENO, rendez-vous au 602.
Si vous suivez le conseil et montez à la mezzanine pour mieux surveiller les accès à la salle des coffres, vous arriverez au 162.
Si vous préférez rester au milieu des convives, rendez-vous au 679.