Tout d'un coup, les lumières s'éteignirent ! Une clameur d'enthousiasme s'éleva dans la salle plongée dans le noir. L'alarme se mit à hurler.

- Je ne vois plus rien ! se plaignit Andylon.

- Le Voleur d'Ombres est là ! criait-on avec emballement tout autour.

Aveugle à cause de l'obscurité, sourd à cause du brouhaha, impossible de vous repérer dans l'agitation générale, vous ne pouviez pas voir d'où le coup allait partir, vous étiez impuissant. Votre ennemi s'était ménagé une diversion efficace. Quand la lumière revint, abrupte, une femme hurla :

- La Jonque machin a disparu !!

Tout le monde voulut se presser vers le tableau, les policiers allaient avoir de la peine à les empêcher de marcher sur le marqueur chimique ! Le Voleur d'Ombres ne devait pas s'en sortir ! Mais que faire dans cette panique générale ? Andylon était restée hébétée à côté de vous. Vous aperçûtes Cardoze en train de foncer dans l'arrière-galerie. Vous ne voyiez Châtaing nulle part.


Alliez-vous :

Suivre le commissaire ? (au 594)

Chercher quelqu'un en particulier dans la salle ? (rendez-vous au 377)

Sortir dehors ? (au 63)