- David, coupable ? Bien sûr que non ! David… enfin, ce jardinier ne peut pas être un voleur de grand standing, ça ne tient pas debout !
- Comment pouvez-vous en être si sûre ? insistâtes-vous.
- Je… je sais tout de même juger les gens.
- Comment me jugez-vous, moi ?
- Vous êtes un petit malin qui se croit le plus intelligent. Tout à fait le genre de détective que pouvait engager ce crétin insignifiant de Dépreaux.
Vous ne pûtes réfréner un sourire : il était décidément toujours dur de juger quelqu'un avec ses sentiments plutôt qu'avec sa raison.
- Comment trouviez-vous Ducult ? poursuivit Châtaing.
- Quelqu'un de très bien, très agréable.
Elle détourna le regard en feignant très mal l'indifférence. Vous ne cessâtes pas le feu :
- Vous ne l'aviez plus revu depuis qu'il avait été congédié ?
Elle vous darda à nouveau un regard courroucé avant de répondre :
- Si, nous nous étions croisés en ville. Toujours aussi poli, il était venu me parler.
- Vous avait-il dit quel emploi il occupait désormais ?
- Il… il s'était montré très évasif… (après une seconde de réflexion :) Je pense qu'il était resté au chômage et qu'il ne voulait pas me le dire.
Si vous avez posé toutes les questions que vous souhaitiez, rendez-vous au 448.
Sinon, vous pouvez demander : ce qu'elle a entendu ou vu le soir du vol chez elle ? (rendez-vous au 580)
Si elle ignorait vraiment l'existence du passage secret ? (rendez-vous au 48)