Le vieil Octave vous conduisit au passage secret d'un pas guindé. C'était un bon prétexte pour l'interroger sans qu'il ne se méfiât. Il ne cacha pas son indignation suite aux événements survenus dans cette maison. Il vous fit comprendre subtilement que vous aviez été engagé pour un travail que vous n'aviez pas réussi à mener à bien. Vous lui répliquâtes que vous auriez réussi sans peine si vous aviez eu connaissance de cette porte secrète.
- Pourquoi ne pas me l'avoir signalée ?
Le majordome, tout embarrassé, cessa ses insinuations direct :
- Je
j'avais déjà remarqué ce vestige du passé, certes. Mais je pensais cette vieille porte condamnée depuis des lustres ! Elle était sous le lambris. Je n'y avais jamais porté plus d'attention.
Sans plus rien dire, vous ouvrîtes la porte et jetâtes un il à ce corridor où vous aviez poursuivi votre adversaire. En manipulant le mécanisme d'ouverture usé, vous remarquâtes que l'huis ne pouvait s'ouvrir que de l'intérieur, depuis la bibliothèque. Et il ne présentait aucun signe d'effraction. Soit le voleur était entré dans la maison pour l'ouvrir avant le vol ; mais dans ce cas, pourquoi ne pas avoir volé le tableau en même temps ? Soit il avait bénéficié d'une complicité volontaire ou involontaire ; quelqu'un lui avait laissé la porte ouverte. Le majordome était trop vieux pour être le Voleur d'Ombres, mais peut-être était-ce lui qui lui avait ouvert ?
Si vous avez le mot-code ANGAMA souligné, rendez-vous au 957.
À défaut, si vous avez le mot FAUMOR, rendez-vous au 559.
À défaut, si vous avez le mot SOSABA, rendez-vous au 382.
Sinon, lui demandez-vous :
Si son emploi auprès des Halade lui convient ? (rendez-vous au 1024)
Son opinion sur Ducult ? (rendez-vous au 833)
Ce qu'il a entendu ou vu le soir du vol de la Nymphe Endormie ? (rendez-vous au 352)