Le commissaire Cardoze fut le premier à bondir dans l'escalier montant à la mezzanine. Comme son inspecteur et lui s'élançaient vers le lieu du vol pressenti, Donovan, Debonvouloir, quelques policiers en civil et vous leur emboîtâtes le pas avant qu'un rideau de vigiles ne condamnât l'accès aux autres participants. En débouchant sur la salle des coffres, vous découvrirent les vigiles sortant à peine de leur léthargie. Au vu des capsules de verre éclatées sur le sol, la déduction était aisée : du gaz soporifique avait été lancé dans la pièce.
La lourde porte blindée était fermée mais Donovan n'était pas tranquille. Il ordonna à Debonvouloir de l'aider à ouvrir le lourd battant. Il tapa le code sur le pavé numérique puis ils actionnèrent leurs clefs qui ne les avaient pas quittés. À l'intérieur du coffre-fort, Donovan tira un tiroir de la taille d'un grand tableau et poussa un juron : c'était vide, à l'exception d'une carte de visite. Vous lûtes :
"
Ce fut un plaisir de jouer avec vous. Je vous tire ma révérence. Le Voleur d'Ombres."
- C'est de la sorcellerie ! hoquetait le directeur de la banque. Personne ne pouvait déverrouiller cette porte ! Personne !
L'utilisation des capsules en attestait formellement : votre adversaire se trouvait là il y a quelques minutes. Il n'avait pas pu aller si loin.
Si Debonvouloir vous a fait visiter les lieux, rendez-vous au 315.
Sinon, rendez-vous au 41.