Paragraphe 785
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Il fallait jouer des coudes pour se frayer un chemin jusqu'à la Jonque sur le Fleuve Jaune. Les gens ne tenaient pas à vous laisser une place si privilégiée. Vous parvîntes enfin au cordon derrière lequel des policiers étaient chargés de contenir les curieux afin qu'ils ne piétinassent pas le marqueur chimique au sol.
Ce fut alors que, tout d'un coup, les lumières s'éteignirent ! Une clameur d'enthousiasme s'éleva dans la salle plongée dans le noir. L'alarme se mit à hurler.
- Le Voleur d'Ombres est là ! criait-on avec emballement autour de vous.
Votre ennemi s'était ménagé une diversion efficace. Aveugle à cause de l'obscurité, sourd à cause du brouhaha, bousculé, il vous était difficile de vous repérer dans pareille cohue. Vous vous efforçâtes de rester concentré sur la toile. Vous crûtes alors entendre le cliquetis métallique d'un mousqueton. Cela venait d'en haut !
La lumière revint abruptement. Le tableau n'était plus là ! Vous regardâtes vers le plafond : une trappe d'aération venait de se refermer ! Le voleur avait déjoué le plan de la police en ne touchant pas le sol. Vous vouliez vous lancer à sa poursuite, mais tout le monde voulait se presser vers l'emplacement vide du Notarangeli ; vous étiez coincé entre eux et les policiers qui tentaient avec peine de les empêcher de marcher sur le marqueur chimique. Le Voleur d'Ombres ne devait pas s'en sortir ! Comme la foule cernait tout l'espace autour du mur où était accroché le tableau, vous mîtes de précieuses secondes à vous en extraire, le temps de pousser les vagues à contre-courant.
Cardoze et Châtaing n'étaient visibles nulle part. Vous tombâtes sur le directeur de la galerie en état de choc.
- Comment on accède au toit ? le pressâtes-vous.
- L'escalier… la porte rouge… par là…, bafouilla-t-il en vous indiquant le passage menant à l'arrière-galerie. Le commissaire vient d'y… d'y aller…
Alliez-vous :
Vous élancer dans cette direction ? (au 594)
Sortir dehors voir s'il y avait quelqu'un sur le toit ? (au 63)
Chercher une personne en particulier dans la salle ? (rendez-vous au 377)
Ce fut alors que, tout d'un coup, les lumières s'éteignirent ! Une clameur d'enthousiasme s'éleva dans la salle plongée dans le noir. L'alarme se mit à hurler.
- Le Voleur d'Ombres est là ! criait-on avec emballement autour de vous.
Votre ennemi s'était ménagé une diversion efficace. Aveugle à cause de l'obscurité, sourd à cause du brouhaha, bousculé, il vous était difficile de vous repérer dans pareille cohue. Vous vous efforçâtes de rester concentré sur la toile. Vous crûtes alors entendre le cliquetis métallique d'un mousqueton. Cela venait d'en haut !
La lumière revint abruptement. Le tableau n'était plus là ! Vous regardâtes vers le plafond : une trappe d'aération venait de se refermer ! Le voleur avait déjoué le plan de la police en ne touchant pas le sol. Vous vouliez vous lancer à sa poursuite, mais tout le monde voulait se presser vers l'emplacement vide du Notarangeli ; vous étiez coincé entre eux et les policiers qui tentaient avec peine de les empêcher de marcher sur le marqueur chimique. Le Voleur d'Ombres ne devait pas s'en sortir ! Comme la foule cernait tout l'espace autour du mur où était accroché le tableau, vous mîtes de précieuses secondes à vous en extraire, le temps de pousser les vagues à contre-courant.
Cardoze et Châtaing n'étaient visibles nulle part. Vous tombâtes sur le directeur de la galerie en état de choc.
- Comment on accède au toit ? le pressâtes-vous.
- L'escalier… la porte rouge… par là…, bafouilla-t-il en vous indiquant le passage menant à l'arrière-galerie. Le commissaire vient d'y… d'y aller…
Alliez-vous :
Vous élancer dans cette direction ? (au 594)
Sortir dehors voir s'il y avait quelqu'un sur le toit ? (au 63)
Chercher une personne en particulier dans la salle ? (rendez-vous au 377)