L'aube était passée depuis longtemps quand vous vous assîtes dans le fauteuil de votre cabinet et ouvrîtes le journal du matin. Il n'y avait qu'un petit article consacré à la mort de Jean-Marc Vivand : on y disait seulement qu'un corps avait été retrouvé dans tel étang. L'info était succincte, Cardoze avait tenu à cacher le nom du faussaire, sa profession douteuse (il était seulement dit qu'il était peintre), et sa propre implication dans l'enquête. Il ne fallait pas éveiller la méfiance de l'ennemi ; tant mieux si la presse ne s'intéressait pas trop à cette piste sérieuse.
Rendez-vous au 237.